Après un premier semestre cataclysmique, et un scénario économique qui s’assombrit dans les pays développés, la prudence inciterait à un désengagement des actifs risqués. Mais la prudence est-elle toujours bonne conseillère ?
Après un premier semestre cataclysmique, et un scénario économique qui s’assombrit dans les pays développés, la prudence inciterait à un désengagement des actifs risqués. Mais la prudence est-elle toujours bonne conseillère ?